La chambre de la déesse

Rafazia entra dans la pièce et déposa avec douceur le corps du seigneur Cialeer sur son lit. Elle remplassa sa robe brisée par la bataille par une autre, différente mais tout aussi incroyable. Cette fois elle était blanche, s'opposant à la teinte de sa peau, plus sombre sous se lourd soleil qui tronnait et reignait sur se désert immence.

Elle trempa ensuite un ligne dans de l'eau et commença à effacé les marques qui c'était fait sur son visage.

Cialeer prenait un peu plus de force, mais il restait encore dans un état de mi sommeil. Il lui paressait des images flous d'un dragon noir ...de la voix entremêlé de Dargent avec une entitée agressive lui annoncantsa propre mort prochaine... Son coeur palpita de plus en plus...il ne pouvait plus retenir la panique qui commençait à germer dans son coeur, il suait, son corps bougeait mais sans les commandes de l'Esprit. Il était en total panique. Plus il allait loin dans ses souvenirs plus son coeur le maltraitait, il commença à gémir de douleur puisil devint incontrôlable. Il parvint si loin dans souvenir qu'il aperçu son père le regardant pour la dernière encore debout...lui souriant en lui disant en veljuk; Crois ce en quoi tu vis, pour que puisse jaillir ton destin. c'est ce en quoi tu dois vivre pour sauver le peuple. Depuis des générations nous nous passons cette prière. garde-là avec toi, elle te fera du bien en toi.... Ensuite une immense lumière l,aveugla et il se réveilla subitement.

-NNNOOOOOOONNNNN!!!!!!!!!!!!!

Puis il retomba dans son inconscient. Il voyait à présent ce qu'il allait ce passer plus tard...une ombre l'envahit une malédiction vieille de 4 ères reviendrait sur terre. Celle d'un dragon noir...Il vit le visage de ce monstre mythique se matérialiser en Dargent...Il voyait le coeur de Dargent se flétrir et il vit le jeune Dargent dans un coin encore lumineux pleurant sa douleur et son malheur.

Il sentit en lui l,énergie qu'il avait perdu durant le combat puis revint peu à peu à lui-même...

Rafazia le laissa paranoyer, c'était normale que la fièvre qui montait en lui le fasse alluciner. Elle termina son travail, puis déposa le linge dans l'eau qu'elle fit ensuite bouillir pour la stériliser. Après cela elle s'éloigna du corps mais à distance elle observa ses traits comme jamais elle ne s'était permis de le faire.

Elle soupira maintenant, elle ne pouvait plus douter de ses sentiments, ils étaient bien là. Rafazia, la déesse du feu, au coeur de pierre avait de tendre sentiment pour Cialeer le seigneur des Veljuks. Sous la lumière qui émanait de l'extérieur les traits du garçon lui plurent encore d'avantage. Elle passa mal à l'aise une main dans ses cheveux.

Cialeer réagit au toucher de Rafazia, il ouvrit les yeux et ce qu'il le surprit. Il ouvrit les yeux plus grand et arcqua les sourcils, mais se ravisa puis prit la main de la déesse, sentant la chaleur pénétrer dans son corps. Il se mit assi puis regarda Rafazia dans les yeux...ses yeux si envoûtant ...si mystérieux...Il sentit par la suite le même sentiment que rafazia au travers de ses yeux. Il n'y avait aucun doute...

-Rafazia...je...

il s'approcha d'elle doucement en regardant sa bouche et ses yeux et l'embrassa prestement snas trop réfléchir à ce qu'il venait de faire. Il passa ses mains dans ses cheveux, autour de son visage et dans son cou...Le baiser était fougeux mais aussi tendre...Il revint à lui puis se ravisa.

-...

Son coeur débattait encore, sa bouche trop enflamm Il se plongea dans les yeux de Rafazia absent de tout temps...

Lorsqu'il se recula, la laissant seule de nouveau, Rafazia resta toute allène, l'esprit vacillant, elle le regarda savourant encore le contact de leurs lèvres. Le contact qui s'oppéra entre leur regard fut bien plus fort que tous les précédents qui les avaient indéniablement mené à ce moment, où leur corps éprit se retrouverait enfin.

Elle ne parla pas , elle n'avait rien à dire de toute façon. Elle se pencha vers le seigneur des Veljuks et déposa doucement ses lèvres contre celle, très douce, de l'homme.

Elle s'agenouilla devant l'homme alors que leurs lèvres se caressaient de plus belle. Déposant ses mains à sa nuque le rapprochant d'elle avec ferveur.

Cialeer se laissa entraîner dans leurs ébats. Il la prit par la taille puis la mit sur le lit où il avait été pendant son sommeil. tout les deux côte à côte. Il lui regardait les yeux puis la bouche, illa serra contre lui, l'embrassa, prit la bretelle de la robe de Rafazia et la fit glisser de son épaule. Il lui caressait son corps séduisant et bouillant de désir. Plus rien n,éxistait mis à part eux deux tout autour semblait inutile et le temps c'était arrêté. Cialeer eue soudain une image de Dargent qui souffrait terriblement. Puis il se releva subitement.

-...nous n'avons pas le temps ça. dargent est en danger. Il faut faire quelque chose. nous devons réfléchir à quelque chose...j'espère que les autres vont bien à Callad...

Toute sa mémoire resurgit, même si le désir envers Rafazia était toujours aussi irrésistible il se résigna son devoir était de protégéer Moonxus, il ne devait se payer du bon temps en ces moments critiques.

-Rafazia, puis-je utiliser votre miroir des révélations? Je dois voir si mon peuple se porte bien et s'il n'y a pas d'autres attaquent sur Moonxus.

Il la regarda puis son désir était encore plus intense, mais il n'arrêta pas de se résigner. son corps si chuad et séduisant, non il devait être fort et aider tous les peuples de le'nvahisssement total.

Rafazia repoussa la tête par en arrère sous les caresses que lui offrait le seigneur Cialeer. Elle même ne se priva pas, depuis le temps qu'elle immaginait inconciemment cela. Leur caresse, douce et passionnée ne semblait pas vouloir frèner le rythme de son coeur, toujours plus vite, la jeune femme devint chaude, car le feu qui règnait en elle devenait de plus en plus intense. Si bien que son corps devait être pour quelqu'un qu'elle n'autorisait pas au contact, bouillant.

La déesse resta un moment silencieuse, alors que le corps du seigneurs des Veljuks était toujours contre le sien. Elle comprit, qu'il avait un royaume lui aussi a protéger, et c'était justement puisqu'il n'avait pas autant de pouvoir qu'elle que cela était bien plus préoccupant. Il lui demanda, il parla, elle écouta... mais déposa une dernier baiser sur les lèvres chaudes de son amant.

-Ton destin bel homme..., répondit-elle d'une voix froide, elle glissa ses mains dans les cheveux de l'homme qui était parvenu à faire battre son coeur de pierre, en captivant entièrement son regard. Quelques instants plus tard, ils se trouvaient debout, toujours enlacé dans la salle du mirroir des révélations.

( suite là!, je te laisse t'en chargé)